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La gestion optimale de ses prairies requiert de l’anticipation

Avec les périodes estivales sèches que l’on vient de passer, les périodes de pâturages ont tendance à diminuer. Pour rallonger celles-ci, divers leviers peuvent être mis en place en vue de gagner 10 à 15 jours de pâturage par an.

Depuis près de cinq ans, la valorisation des prairies par le pâturage en période estivale est sérieusement contrariée par les fortes chaleurs et le stress hydrique. D’où les expérimentations conduites sur le sujet dans plusieurs programmes de recherche. « Ces derniers démontrent qu’il est possible d’aller chercher quelques jours de pâturage supplémentaires », résument les intervenants d’un atelier dédié à cette question lors d’un après-midi technique, organisé le 8 juin à la ferme expérimentale des Bordes. Le premier levier est de sortir les animaux plus tôt. Ce qui nécessite d’anticiper au maximum la mise à l’herbe en amont, pour pouvoir s’adapter plus facilement en cas d’aléas. « Le travail d’anticipation comprend le planning prévisionnel de la mise à l’herbe, le positionnement des clôtures, des points d’eau, la répartition des lots, et sur quelles prairies est-ce possible de prévoir un pâturage tournant, En bref / dans quelles conditions.

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