Aller au contenu principal

CNEAC : DEUX FORMATIONS COMPLÉMENTAIRES

  La demande en main-d’œuvre qualifiée en viticulture ne cesse d’augmenter. Le bac pro et le BTS vitivinicoles mis en place par le centre de formation à distance répondent pleinement à cette recherche de salariés viticoles.

Les formations proposées par le CNEAC permettent de s’installer ou de trouver un emploi qualifié en viticulture.

Depuis près de vingt ans, le CNEAC enseigne les arcanes de la viticulture et de l’œnologie. Deux cursus sont accessibles aux apprenants, selon leur niveau d’étude et leur objectif de carrière.

DEUX FORMATIONS, DEUX DIPLÔMES

« Le bac pro s’organise autour des enseignements généraux, techniques et professionnels liés au travail de la vigne, le travail en cave, etc. », présente Gérard Bertaud, directeur du centre de formation à distance. A l’issue de la formation sur un à trois ans, avec ses huit semaines de stage obligatoire à minima dans une entreprise vitivinicole, l’apprenant obtient un diplôme de niveau IV. « Cela permet aux stagiaires de pouvoir s’installer dans le milieu viticole comme intégrer un domaine en tant que salarié ou de pousser plus loin sa formation via le BTS Viticulture-œnologie », poursuit-il. Le BTS, sur un ou deux ans, est assorti d’un stage obligatoire d’une durée de 10 à 12 semaines au sein d’une exploitation vitivinicole. Cette formation diplômante (qualification technique de niveau III) ouvre d’autres perspectives d’emploi comme responsable de chai ou de cave, responsable de cultures ou de domaine viticole, techniciens viticoles auprès d’organismes professionnels, etc.

UNE FORMATION ADAPTABLE SELON SON MODE DE VIE

« Les profils des stagiaires vont du jeune scolaire à l’adulte en reconversion, ou en quête d’une meilleure qualification. Etant un centre de formation à distance, avec une semaine de présence obligatoire par trimestre sur le site d’Argenton, les apprenants peuvent moduler leurs apprentissages en fonction de leurs contraintes personnelles ou professionnelles », développe Gérard Bertaud. Cette approche de la formation professionnalisante séduit près de 900 stagiaires par an, toutes filières confondues, avec une très forte demande autour des cursus agricoles.

Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 89€
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site L'Aurore Paysanne
Consultez le journal L'Aurore Paysanne au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter du journal L'Aurore Paysanne
Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout {nom-site}.

Vous aimerez aussi

Fourragères estivales : de premiers résultats à confirmer

Pour évaluer le rendement des espèces fourragères d’été et leurs valorisations par les animaux, la ferme expérimentale conduit depuis 2023 un essai

Le plan de continuation de l’abattoir Berry Bocage validé

Dix-huit mois de travail ont été nécessaires pour sécuriser l’outil de St-Amand-de-Montrond.

Pac : « une prestation personnalisée pour un dossier bien ficelé »

 Sur près de 3 000 déclarations Pac du département sont réalisées à 50 % par des agriculteurs épaulés par un prestataire.

Les saveurs du Sud-Ouest, mais pas que, régalent La Buxerette

Depuis le 15 mars 2023, Audrey Dutreuil et Mickaël Roca ont redonné vie au centre-bourg de La Buxerette en reprenant le restaurant du village.

Crise agricole : point sur les mesures locales

Présent sur l’autoroute lors des blocages du mois de janvier, Thibault Lanxade, le préfet de l’Indre, avait attentivement écouté les revendications

Plus d’un contrôle phyto sur deux conduit à une pénalité

Le durcissement des contrôles phytos depuis 2023 est synonyme de pénalité dans plus d’un cas sur deux.

Publicité