Aller au contenu principal

Dégât de gibier : Le barème 2019 est connu

Les agriculteurs victimes de préjudices dans leurs cultures en 2019 vont pouvoir être indemnisés selon un barème qui vient d’être arrêté.

Vignette

La Commission spécialisée pour l’indemnisation des dégâts de gibiers s’est réunie les 27 septembre et 18 octobre derniers pour fixer les barèmes d’indemnisation des dégâts causés par le grand gibier sur le foin et les cultures. Il s’agit du barème pour les cultures 2019.
Celui-ci s’appliquera pour chaque exploitant ayant fait évaluer ses dégâts par un estimateur de la fédération des chasseurs, sur les quantités perdues. Les dossiers sont en cours de règlement par la FDC36. Le barème sur les cultures de maïs et tournesol sera décidé lors de la prochaine commission prévue fin novembre

Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 89€
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site L'Aurore Paysanne
Consultez le journal L'Aurore Paysanne au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter du journal L'Aurore Paysanne
Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout {nom-site}.

Vous aimerez aussi

Fertilité : des enjeux propres à chaque type de sol

A chaque type de sol correspondent des problématiques de fertilité.

Tout repose sur les cultures d’été

 Les cultures implantées souffrent grandement du surplus d’eau, et les chantiers sont en stand-by le temps que les sols se ressuient.

Un peu d’Himalaya au-dessus de la Creuse

Elles font rêver les amateurs de randonnées : les passerelles himalayennes.

Mise en lumière des produits phares de la Brenne

La Brenne est reconnue pour ses mille étangs, mais également pour ses fromages de chèvres et sa pisciculture.

De l’eau, de l’eau et encore de l’eau…

Après un mois de février très arrosé, l’entrée dans les champs est encore repoussée.

Hélène Georges : « Il faut s’imposer pour faire sa place »

 Installée depuis huit ans, Hélène Georges, éleveuse à Saint-Cyran-du-Jambot, essuie encore quelques remarques sur ses capacités agricoles en

Publicité