AGRICULTURE DE CONSERVATION
Moins d’intrants, moins de tracteurs… place à l’observation
AGRICULTURE DE CONSERVATION
Régis et Jean-François Feignon ont expliqué aux participants d’une journée organisée par la chambre d’agriculture, le cheminement qui les a conduits à pratiquer l’agriculture de conservation des sols. Après douze ans d’expérience, ils en soulignent les nombreux bienfaits.
A Rivarennes, le parcellaire éclaté de Régis et Jean-François Feignon est composé de terres assez hydromorphes à faibles potentiels. « Il y a quinze ans, on s’apercevait que l’on avait besoin de plus en plus de produits pour contrôler les cultures avec une baisse de rendements. Il fallait que l’on trouve une solution pour réduire nos charges de production », rapporte Jean-François Feignon.
Un bouleversement pas sans craintes
Après des tentatives de simplification de leurs pratiques et de recherche de réduction des IFT, les deux frères se sont lancés dans l’agriculture de conservation des sols (ACS). C’est un concours de circonstances qu’il les a conduits sur cette voie.