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Le faible potentiel des premières coupes de juillet

A la faveur d’un créneau opportun début juin, de nombreuses prairies ont pu être fauchées. Le fourrage de qualité ainsi récolté dénote avec celui des parcelles qui n’ont pu être fauchées, leur potentiel se dégrade au fil des jours.

Dans la majorité des cas, les premières coupes de fourrage se sont déroulées fin mai-début juin dans des conditions correctes. « Les ensilages et enrubannages réalisés sur ce court créneau sont de bonne qualité. Depuis, les conditions météo ont favorisé les repousses, une situation permettant de faire pâturer les animaux en juillet », explique Claude Vincent.

Malheureusement, toutes les parcelles n’ont pas pu être récoltées avant le retour des pluies. Pour les parcelles non libérées, « tout à verser, le fourrage est plaqué au sol, ce qui entraine une perte considérable en termes de qualité », pointe le conseiller bovin viande de la chambre d’agriculture de l’Indre. Le mot d’ordre est simple : aller faucher dès qu’il y a une opportunité d’intervention, « pour libérer la parcelle, même si la qualité n’est pas là ».

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